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 j. leanna-lux walden ★ get it right

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AuteurMessage
J. Leanna-Lux Walden

J. Leanna-Lux Walden


j. leanna-lux walden ★ get it right 2r7wy8g
♣ date d'inscription : 02/10/2010
♣ prénom / pseudo : Elodie & Shakespearette
♣ âge : 29
♣ nombre de messages : 376
♣ copyright : © mia ; shakespearette
♣ âge : 20 ans
♣ nationalité : américaine
♣ études/métier : étudiante en pharmacie

***
♣ situation amoureuse: marié(e)
♣ relationships:

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MessageSujet: j. leanna-lux walden ★ get it right   j. leanna-lux walden ★ get it right EmptyJeu 23 Juin - 15:25



Informations générales

Civilité : [] M. [✔] Mme [] Mlle
Nom complet : Tanner, épouse Walden
Prénom(s) : Jules Leanna-Lux Katherine
Date de naissance : 28 mai 1990
Lieu de naissance : San Francisco
Nationalité : Américaine
Situation familiale : [✔] marié(e) [] fiancé(e) [] célibataire [] divorcé(e)
Sexualité : Hétérosexuelle
Métiers/Études : Étudiante en pharmacie & assistante organisatrice de mariage

Caractère

sage ★ responsable ★ intelligente
romantique ★ réservée ★ fragile
jalouse ★ empathique


Être ici est un choix

Leanna-Lux a quitté San Francisco il y a maintenant presque un an avec sa famille pour fuir un père violent. Ils ont décidé que tout cela était mieux pour tout le monde, et leur instinct familial n'a fait que les conforter dans leur choix. Ils regrettent de temps en temps d'avoir abandonné leur père, mais c'était mieux pour tout le monde que les Tanner quittent les États Unis !

Dossier de :
Jules Leanna-Lux2 Walden
Survolez l'avatar pour consulter le dossier

Raconte moi ton histoire ...

L'histoire d'une vie est basée sur des souvenirs qu'on choisit de préciser ou d'omettre en fonction de l'importance de cet évènement. Je m'appelle Jules Leanna-Lux Tanner épouse Walden, et voici ce que je choisirai d'appeler l'histoire de MA vie.


Chapitre un :
          l'ascendance


Il faut tout d'abord que je vous dise que je connais très peu de choses de cette période. Les seules informations que je dispose proviennent d'un long téléphone arabe. En effet, nous avons tout appris de la vie passée de nos parents grâce à un journal intime que notre mère nous avait laissé avant de nous abandonner.

Tout commença une belle journée d'été. D'un côté, Marina, une très jolie jeune femme de 20 ans et des brouettes, passait toutes ses vacances à profiter du soleil et de la chaleur que ce dernier apportait. Elle bronzait, lisait des romans policiers, et s'imaginait dans un monde futur avec pleins d'enfants et un mari aimant. Elle était particulièrement rêveuse, mais elle était également une personne très organisée, travailleuse et ambitieuse. De l'autre côté, Edward Tanner, britannique de vingt-deux ans, militaire dans l'armée de l'air, reconverti au métier de pilote d'avion. Il voyageait beaucoup et ne restait jamais dans un pays plus d'une semaine. Malgré tout, cette fois là, il prit un mois de repos, dans la belle ville de San Francisco, il s'y posa, explora les environs, se fit des amis et tomba amoureux. Eh oui ! Il tomba amoureux de cette belle Marina de la plage. En effet, il se promenait tranquillement sur la plage en sirotant un granita bien frais, quand un ballon le toucha en plein dans le mille, il lâcha machinalement son verre qui se renversa sur notre sublime vacancière. Et dès le premier regard ils tombèrent amoureux, ils sortirent longtemps ensemble ... pendant plusieurs années, deux ou trois, avant de se marier. Il est vrai que le métier d'Edward ne facilitait pas leur relation, mais malgré tout, Marina réussit à tomber enceinte peu de temps après leur mariage. Cependant, Edward dut repartir pour un long courrier jusqu'à Paris. Il emmenait d'ailleurs, à ce moment là, dans son avion, son meilleur ami qui rejoignait la France pour un voyage d'affaires. Tout se passa extrêmement bien, jusqu'à l'atterrissage. Edward avait géré le vol avec son co-pilote jusqu'au bout, et son meilleur ami, Kyle se trouvait dans le cockpit avec lui. Soudain, au moment de poser les roues sur la piste d'atterrissage, une roue refusa de sortir, l'avion dévia complètement, emmenant tous les passagers dans un terrain désert, l'avion prit très vite feu. Le premier réflexe d'Edward fut de sortir son co-pilote et son meilleur ami de là, car ils étaient tous les deux inconscients. Il réussit à les libérer avant que l'avion prenne complètement feu. Bilan des courses, 57 morts et plus de 140 blessés, parmi ces morts, il y avait Kyle, mais aussi le co-pilote, et plus d'un quart des passagers. Edward le savait, il s'en voudrait toute sa vie d'avoir survécu et d'avoir laissé son meilleur ami mourir à ses côtés.

A partir de là, rien ne fut plus pareil, Marina le dit si bien dans son journal intime : "Je souffre, mais il souffre plus que moi. Je ne sais pas comment le réconforter ! A chaque fois que j'essaie, il me rejette comme s'il ne me connaissait pas. Je ne sais plus quoi faire, je ne dors plus, je suis épuisée, mais je me dois de rester. On s'est promis fidélité, il me faut donc l'aimer quoi qu'il arrive." Voilà ce qu'elle disait, mais ce qu'elle omettait, c'était sans aucun doute le fait qu'Edward avait commencé à être pris de crise de folie, il cassait tout dans la maison, et surtout il violentait Marina. Même après la naissance de Parker & Scarlett, Edward n'arriva pas à se contrôler. Il se sentait coupable de donner la vie alors qu'en échange, il avait du rendre la vie de quelqu'un d'autre à Dieu. Il voulut taper ses enfants, mais Marina l'en avait toujours empêché. Quand il était violent, il était dans un monde parallèle, il ne se rendait pas compte de tout, mais en dehors de cela, il restait quand même un père qui aimait ses enfants.

Sa maladie se calma avec le temps. Il arrêta petit à petit d'avoir des crises journalières. Elles ne revenaient qu'une fois par mois, de temps en temps, et il ne faisait plus souffrir personne. Il réussit même à remettre Marina enceinte. Ils étaient heureux à nouveau, tout du moins ils l'essayaient. Voilà comment on en arrive à mon histoire, cette histoire dans laquelle j'existe. Elle commence ici et maintenant.

Chapitre deux :
          l'enfance


Ma vie est un enchaînement de drame et de bonheur, mais tout commence ici. C'était un beau matin de printemps, plutôt frais, mais malgré tout ensoleillé. Le 28 mai 1990 précisément, il naquit dans un hôpital de San Francisco, une très jolie petite blondinette que l'on nomma immédiatement, Jules Leanna-Lux Katherine Tanner. Seulement âgée de quelques heures, elle était déjà vue comme une jeune demoiselle très maligne, intelligente mais malgré tout très sage. Elle avait la joie de vivre et un petit sourire sur les lèvres comme si elle faisait une grimace.

Bah oui c'est évident, cette petite fille c'était moi ! Dès que je fus arrivée à la maison avec toute ma famille, je fus immédiatement chouchoutée par ma mère et mon frère et ma sœur. Mon père, parait-il, préférait rester à l'écart car il se sentait encore faible et il ne contrôlait pas encore ses crises de nerf. Malgré tout, au fond de moi, dans mon petit cœur d'enfants, je sentais sa présence et l'amour qu'il me portait. J'appris très vite à me retourner sur le ventre, à reconnaître les personnes que je ne connaissais pas et à rigoler lorsqu'on me chatouillait. J'étais particulièrement précoce pour mon âge, mais toute ma famille ne me voyait que comme une personne normale ce qui me convenait sûrement. Je fus également très vite lancée sur mes quatre pattes, puis sur mes deux pieds. Je mangeais bien, j'étais en pleine forme et j'accordais très vite une passion inégalable pour la musique.

A mon entrée à l'école maternelle, je fis comme tous les enfants de mon âge, je m'accrochai à ma mère, désirant plus que tout au monde rentrer à la maison. Mais la première journée passée, je ne voulus plus manquer un jour d'école. J'apprenais tellement de choses et tout ce que la maîtresse disait, je l'avalais par grande bouchée. J'étais très attentive et particulièrement calme. J'étais très appréciée des professeurs et de mes camarades. J'avais beaucoup d'amis, mais aucun d'eux ne m'accordait assez d'attention pour devenir mon meilleur ami. J'appris donc à me débrouiller toute seule et à me satisfaire de ce que j'avais. Quand je m'ennuyais dans la cours de récréation, je regardais les autres rire et cela me redonnait immédiatement le moral. Ma vie semblait si facile et calme, et mon père semblait avoir repris goût à la vie, mais ce n'était que des apparences, parce que le jour où l'ex-fiancée du meilleur ami de mon père s'installa en face de chez nous, tout dérapa, mon père ne se contrôla plus. Ce jour-là d'ailleurs, il nous frappa tous ! Je n'avais que deux ans, mais je ressentais déjà la douleur des coups. Et pour ne pas tout arranger aussi vite, notre nouvelle voisine vint nous faire part de sa récente acquisition sans savoir que c'était nous qui habitions ici. Les choses s'aggravèrent encore plus et nous dûmes retenir papa par derrière pour qu'il ne se jette pas sur cette femme qui lui rappelait tant ses problèmes passés. Depuis ce jour, les journées étaient plus longues les unes que les autres. Je ne supportais pas de dormir seule dans ma chambre alors tous les soirs, Parker et Scarlett me rejoignaient dans mon lit. J'avais extrêmement peur, je m'en souviens comme cela tout du moins. J'étais encore si petite, mais j'avais déjà sur le dos tellement de problèmes que ma maturité ne prit pas beaucoup de temps pour éclore. Tout se passait encore plutôt bien quand maman était là. Elle nous protégeait du mieux qu'elle le pouvait, prenait les coups à notre place ...

Néanmoins, un jour, quand Parker, Scarlett et moi rentrâmes de la maison tous les trois ensemble, notre père nous annonça machinalement que maman était partie, qu'elle nous avait laissé à sa responsabilité et qu'à partir d'aujourd'hui nous devions lui obéir. Le problème n'était pas là. Nous voulions bien lui obéir, mais sa folie ponctuelle était devenue permanente et nous ne pouvions plus le contrôler. Je me souviens que tous les soirs, nous avions une nouvelle maman et que la plus longue qu'on ait eu après le départ de notre mère biologique fut celle qui laissa derrière elle deux autres enfants à la garde de ce fou allié. A partir de ce jour, nous fûmes une famille plus que nombreuses composées de cinq enfants : Parker, Scarlett, Lullaby, Lorelai et moi.

Toutefois, malgré tous ces rebondissements, la vie continuait du mieux qu'elle le pouvait. J'arrivai donc à l'école primaire avec une année d'avance due à ma précocité intellectuelle d'après mes professeurs. J'étais toujours vue comme une petite fille sage, qui ne rencontrait aucun problème et qui était très sensible à tout ce qui l'entourait. Mais tout ceux qui faisaient ces bilans psychologiques ne savaient rien de ma vie. Parce que je me faisais battre au moins une fois tous les deux jours, parce que mon frère aîné avait le don de soigner les blessures et de les cacher derrière du fond de teint, parce que je jouais très bien la comédie. Pourquoi nous faisions cela ? Parce qu'au fond, nous l'aimions notre père, et pour rien au monde nous n'aurions voulu le voir croupir en prison, et être séparés Parker, Scarlett, Lullaby, Lorelai et moi dans des familles d'accueil que l'on ne connaissait pas.

Même si la vie a ses détours, je continuais d'apprécier la vie. D'ailleurs, quand j'eus atteint six ans, mon frère et ma sœur aînée trouvèrent le moyen de m'inscrire dans un petit conservatoire de musique où je pus apprendre le solfège, le piano et la guitare. J'avais un don pour la musique, mais je ne m'en vantais pas trop, du moins je l'essayais. Dès l'âge de neuf ans, je commençai à composer des morceaux qui exprimaient au mieux ma souffrance et tout ce que je ne pouvais pas dire à des amis que je n'avais pas.

Chapitre trois :
          l'adolescence


Mon entrée au collège fut tout à fait normale. Les coups que je me prenais tous les jours chez moi, n'étaient plus qu'un train-train habituel d'une vie et de temps en temps, je m'étonnais même de penser que c'était naturel de recevoir des coups de son père. Dans tous les cas, cela n'affectait pas mes résultats scolaires et je m'en sortais toujours première de la classe à chaque fin de trimestre. Parler et Scarlett étaient fiers de moi et rien que le fait de ressentir cela venant d'eux me donnait le courage de continuer coûte que coûte à réussir tout ce que j'entreprenais. Au niveau scolaire, j'étais donc comme tous les autres adolescents, mais contrairement aux autres, je n'eus pas la chance -si l'on pouvait l'appeler comme cela- de faire ma crise d'adolescence. En effet, je n'avais plus de mère à qui le faire, et mon père, lui, n'était là que pour nous violenter pour une seule parole qui sortait de notre bouche. Il s'était d'ailleurs plongé dans l'alcool et je le soupçonnais même de prendre de la drogue. Parker, Scarlett et moi, tentions au mieux de tenir Lullaby & Lorelai éloignées de toutes ses saletés qui ne feraient que gâcher leur vie. Malgré tout cela, je continuais à jouer de la musique, c'était les seuls moments de détente que je réussissais à obtenir. Je m'enfermais dans ma chambre, fermée à double clef et je me lançais dans des symphonies et des préludes plus différents les uns que les autres. Je continuais à composer des petits morceaux, et le plus beau moment de mon adolescence, ce fut quand je trouvai enfin une meilleure amie à qui parler de tous mes problèmes. Je ne l'avais pas devant moi, mais je savais que je pouvais compter sur elle pour être là tous les soirs, sur msn pour me réconforter et me soutenir.

Au lycée, je m'épris d'un garçon de mon niveau, mais plus âgé que moi (cela étant du à mon saut de classe). Malgré tout, on connaissait sa réputation de coureur de jupons, et je décidai qu'il était mieux pour moi de l'oublier et de tourner très rapidement la page sur lui. Les cours étaient plus difficiles, mais je m'accrochais et je savais qu'à la fin du mois j'étais récompensée par de bonnes notes. J'étais toujours première de ma classe et même de l'établissement. Je trouvai une façon d'être populaire à ma manière. Finalement, à la fin du lycée, j'obtins mon diplôme avec les félicitations du jury. Je fus immédiatement promise à l'université d'Harvard et de Berkeley, mais je préférai rester à San Francisco pour le confort de ma famille, mais surtout pour aimer à n'en plus finir. Eh oui, il faut absolument que je vous raconte cette partie de mon histoire, elle est particulièrement importante.

Lors de mon bal de promo, celui de celui que j'aime aussi -qui s'appelait Lukas- j'étais venue seule, parce qu'il valait mieux être seule que mal accompagné. Je n'avais d'abord pas voulu venir, mais finalement, aujourd'hui, je ne regrette pas d'être venue. Je me souviens avoir vue la reine du lycée sortir en trombe de la salle de bal en criant "Tu n'es qu'un sale c** comme tous tes amis le disent ! Je ne sais pas pourquoi j'ai accepté de venir au bal avec toi". J'avais bien rigolé sur le moment, mais quand je vis Lukas courir derrière elle et lui dire qu'elle ne le méritait pas, j'ai dû me retenir de rire. Je passai donc une bonne partie de la soirée seule à ma table, à regarder les autres s'amuser, jusqu'à ce que Lukas vienne s'asseoir à côté de moi. Il voulut être franc, dire ce qu'il ressentait pour moi et ce qu'il attendait de nous, mais j'ai préféré le couper et faire cela à ma manière. Je connaissais tellement peu de choses de lui, mais j'étais malgré tout tombée amoureuse, sans vraiment savoir pourquoi. Il fallait donc maintenant que j'en apprenne plus sur lui et qu'il en soit de même pour lui. Je tendis donc ma main dans sa direction et me présenta.

“Salut ! Je m'appelle Jules Leanna-Lux Tanner. Enfin, appelle moi Leanna-Lux. J'ai 17 ans, j'ai eu mon diplôme de fin d'études avec la mention très bien, mais ça tu dois le savoir. J'adore lire, et je joue de la musique depuis que je suis petite. Du piano et de la guitare. J'ai un frère et trois sœurs. Je suis déterminée à devenir pharmacienne et je suis amoureuse de toi depuis la première fois que je t'ai vu il y a quatre ans. A toi maintenant !” “Euh, je ... enchanté Leanna-Lux. Moi c'est Lukas ... Lukas Alexander Walden. J'ai 18 ans, mon diplôme en poche et une sœur. Ma famille est plutôt riche, mais il parait bien que je suis bientôt déshérité. J'aime la musique depuis toujours, je joue d'ailleurs extrêmement bien de la guitare. Je compose également et j'adore le football américain.” Je me souviendrais toujours de ce jour là. Il était extrêmement gêné. “Ooh j'oubliais ! Tu es la plus belle femme du monde et je veux sortir avec toi depuis quatre ans !” Je souris et rigolai à sa remarque. “Dans ce cas j'accepte ta proposition avec plaisir.” Et depuis ce jour, nous sommes ensemble.

Chapitre quatre :
          la vie adulte


Lukas et moi sommes fous amoureux l'un de l'autre. Et en effet, comme il l'avait prévu, il fut déshérité quand son père apprit que nous sortions ensemble. Il s'installa donc chez moi, avec mon père violent, mais avec lui, je me sentais en sécurité et toute ma famille prit très bien son arrivée dans la famille. Je commençai mes études à l'université de San Francisco dans la branche pharmaceutique. Toujours très sérieuse, j'étais déterminée à réussir mes études même si mon père continuait à être violent. Comme Parker et Scarlett, j'aurais pu partir dès que j'avais atteint ma majorité, mais nous avions tous choisi de rester avec Lullaby et Lorelai pour leur propre sécurité. Quand Lukas eut 20 ans et que j'en eus 19, nous décidâmes de nous marier, nous fîmes cela dans une parfaite intimité. D'ailleurs, suite à cela, je suis tombée enceinte et j'attends des jumeaux. Je crois que c'est de famille, une génétique qui vient sûrement de mon père. D'ailleurs en parlant de lui, dernièrement, il a fait une énorme crise, aucun de nous ne savons ce qui l'a déclenché, mais nous avons tous fini avec d'horribles séquelles. De ce fait, nous avons tous décidé d'un commun accord de quitter San Francisco et de recommencer une vie dans l'archipel des îles Galapagos. Nous avons appris l'existence de cet endroit grâce au site changeyourlife et actuellement, nous sommes dans l'avion qui nous y emmène.

Chapitre cinq :
          la renaissance


Voilà plusieurs mois que je suis sur les îles Galapagos. La vie est tellement plus facile ici. Mais surtout elle est plus belle qu'elle ne l'a jamais été avant. Il y a moins d'un jour, j'ai accouché de jumeaux. Une magnifique petite fille et un sublime garçon qui liront peut-être un jour ces mots. Je les aime tellement, leur visage, leur peau, leur yeux, tout m'attendrit et je ne me vois plus vivre sans eux. J'espère être une bonne mère, j'espère vraiment en être capable. En attendant, je viens d'apprendre que je pourrais reprendre mes études de pharmacie l'année prochaine là où je m'étais arrêtée. En plus, je vais pouvoir m'atteler à ma deuxième passion car j'ai été prise à mi-temps dans un petit boulot d'assistante organisatrice de mariage. J'espère être à la hauteur de tout cela. Oh j'oubliais, mes deux p'tits coeurs s'appellent Maxyne Callie & Stefan Edward (...) J'écris ce roman, j'écris cette histoire dans le but de la conter plus tard à mes enfants. Mais si par malheur, je venais à mourir avant de leur avoir raconté tout cela, j'espère que ce livre vous aura été remis mes enfants. Je vous aime de tout mon cœur. C'est votre passé, votre présent, mais maintenant c'est à vous d'écrire votre futur.

Ma deuxième personnalité c'est d'être moi

Bonjour ♣ Bonjour ♣ Mon papa et ma maman m'ont appelé Elodie et moi, du coup, j'ai décidé de prendre le pseudo Shakespearette. Aujourd'hui j'ai 17 ans et si vous voulez tout savoir, vous n'avez pas intérêt à oublier mon anniversaire parce que c'est le 28 mai 1994. J'ai pris Lea Michele comme avatar parce que je l'adore et j'adore Rachel dans Glee. Le forum je l'ai trouvé sur mon dictionnaire des noms propres ! Non en fait je l'ai trouvé dans ma petite cervelle, j'ai craqué et je le trouve parfait à travers mes yeux de créatrice ce qui est pas très objectif. J'ai bien lu le règlement et je vous en donne la preuve : j'adore le camembert et le romarin. Sinon et bien je vous raconte ma vie en quelques lignes ... Et bien j'ai tellement de choses à dire que je préfère me taire ! =) Une seule chose qui me tient à cœur c'est dire à ma sœur adoptive préférée que je l'aime très très très fort.
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